Suivant la perspective d’objets tendance, les capteurs de rêves existent actuellement sous des formes variées. Certains les portent notamment comme motif pour des tatouages et d’autres les arborent en bijoux fantaisie ou objets de luxe. D’autres adoptent une approche plus traditionnelle en les prenant sous la forme d’une amulette magique comme cet le cas avec notre attrape reve wapi bleu.
Partage du concept aux occidentaux avec Frances Densmore
Attrape reve Naya bleu et marron ou attrapeur de rêve Wapi bleu, les historiens de toutes parts émettent une grande discussion par rapport à l’origine exacte des capteurs de rêves. La plupart des avis d’experts tendent notamment vers l’idée que ces objets ont été initialement fabriqués par les tribus Ojibwé. La plupart des informations fournies à ce sujet tendent aussi à fournir la même réponse. Il y a pourtant plus d’une légende sur les dreamcatchers.
L’attribution de l’origine des attrapes rêves aux Ojibwé résulte surtout des recherches menées par Frances Densmore au 19e siècle. Peu d’historiens ont eu la volonté de travailler aussi dur que Densmore pour préserver la culture et l’histoire des Amérindiens. Née à Redwing dans le Minnesota, Frances Densmore a grandi au son des tambours rituels des tribus amérindiennes établies sur les voyages voisins. Sa mère l’a d’ailleurs encouragée à aimer la pureté de la musique des Amérindiens.
Frances Densmore a étudié au Conservatoire de Musique d’Oberlin et à l’université d’Harvard vers la fin du 19e siècle. Elle a également suivi pendant plusieurs années les cours d’Alice Cunningham Fletcher, l’auteur de ‘A Study of Omaha Music’. Elle a ensuite consacré une grande partie de sa vie à préserver les coutumes et la culture des tribus amérindiennes.
Sa première éducation pratique dans la vie des Amérindiens débute avec la visite d’un village Ojibwé du Minnesota en 1905. Elle avait notamment insisté pour que le Bureau d’Ethnologie du Smithsonian Institute l’aide financièrement à poursuivre ses études des Amérindiens. Cela a permis de forger une alliance entre les Ojibwé et le Smithsonian Institute jusqu’à la mort de Frances Densmore en 1957.
Dans son livre ‘Chippewa Customs’ de 1979, Densmore aborde le sujet des articles comme cet attrape reve wapi bleu. Elle les décrit notamment comme des représentations des toiles d’araignées. Tout ce qui était potentiellement dangereux était piégé dans la toile, protégeant ainsi les énergies de ceux qui y dormaient. L’outil en question était surtout utilisé pour les jeunes enfants.
Attrape reve wapi Bleu : Objet prophétique de la renaissance du peuple Ojibwé
Les Ojibwe fabriquaient de nombreux objets artisanaux à partir des ressources dont ils disposaient. La plupart avaient un sens qui devait être compris tout en tissant les capteurs de rêves. Certains d’entre eux, y compris les capteurs de rêves originaux, se rapportaient à d’anciennes légendes prophétiques. L’une d’elles était la prophétie des Sept Feux des Anishinabe ou les premiers peuples.
L’histoire des Sept Feux est ancrée dans la coutume Ojibwe. Elles devraient notamment être racontées et méditées à mesure que des objets à l’image de notre attrape reve wapi bleu ou notre attrape rêve Sakari couleur orangé étaient fabriqués. L’histoire évoque aussi que les sept prophètes sont arrivés sur la côte atlantique des États-Unis pour rencontrer les Anishinabe.
Lorsque les sept prophètes sont arrivés il y a de nombreuses années, tout allait bien pour la terre. Les prophètes ont ensuite donné au peuple sept prophéties qui ont été connues sous le nom des Sept Feux. Ces prophéties incluaient les changements qui allaient arriver à la terre dans les années à venir. Il y avait notamment les nombreux mouvements qui seraient nécessaires pour continuer à soutenir la vie. Il y a aussi et surtout l’arrivée d’une race de gens qui diminuerait les Anishinabé. Les prophètes n’ont notamment conseillé que les Anishinabe fassent preuve de prudence en traitant avec des gens.
Les prophéties ont aussi établi que les Anishinabe seraient chassés de leurs terres et foyers par les visages pâles. Elles ont poursuivi sur la mention de la destruction éventuelle qui viendrait à la terre. De cette destruction, le Nouveau Peuple naîtrait et chercherait à perpétuer la voix des ancêtres. Il s’agirait là de l’idée du cycle de la vie, telle qu’exprimer avec l’amulette sacrée qu’est l’attrape rêve.
Capteur de rêve wapi : Concept partagé à travers les tribus amérindiennes
La tradition du capteur de rêves s’est étendue à d’autres nations amérindiennes comme les Cherokee et les Lakota. Chacun avait une version de légende et des approches conceptuelles qui leur étaient uniques. Les attrapes rêves Cherokee ont un design plus élaboré qui accorde beaucoup d’intérêt à la numérologie. Cela se voit notamment dans la réalisation de cercles imbriqués.
Les formats modernes de notre attrape reve wapi bleu arborent beaucoup de perles et de plumes pour l’effet décoratif. Ils peuvent également avec une largeur de 15 à 30 cm. Cet attrape reve wapi bleu fait pour sa part 26 cm de largeur pour 54 cm de long. Il est décoré de plumes bleues et grises, de perles luisantes de la même couleur et de coquillages.
D’un style ressembla à l’attrape rêve Ozalee modèle rose, notre attrape reve wapi bleu se présente uniformément en bleu. Cette couleur symbolise l’intuition de servir et d’enseigner dans la culture amérindienne. L’interprétation des couleurs varie néanmoins selon la tribu concernée. Les Cherokee voient le bleu comme la représentation du Nord. Cela se rapporte au froid, à la défaite et aux problèmes. Le bleu peut aussi être plus généralement associé à l’eau, ce qui exprime la sagesse et le sens de l’abnégation.
Wapi attrape reve : Préserver la culture amérindienne de l’appropriation culturelle
L’affirmation de l’authenticité d’un attrape reve wapi bleu implique le respect de l’histoire de leur fabrication. La légende autour des modèles originaux fait état de matériaux tels que le saule et le tendon ou l’ortie. Les capteurs de rêves doivent aussi être fabriqués avec l’empreinte unique d’une personne. Ils ne doivent jamais être représentés comme un véritable artefact amérindien sauf s’ils ont été réellement fabriqués par un Amérindien.
Aux États-Unis, une loi de 1990 protège les Amérindiens des actes d’appropriations de leur culture. Cette loi interdit notamment à quiconque d’affirmer l’authenticité d’un attrape rêve s’il n’est pas de fabrication amérindienne. C’est d’autant plus compréhensible dans la mesure où les capteurs de rêves sont bien plus que de belles œuvres d’art. Ils ont un sens plus profond qui se ramène à des prophéties amérindiennes anciennes et un certain pouvoir de guérison.
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